Quatre-vingt-trois arbres matures, situés dans une zone d’ilot de chaleur et de forte concentration de pollution atmosphérique selon l’Institut national de santé publique du Québec, ont été abattus par le promoteur. Or, ces arbres étaient situés en périphérie du terrain, près de la limite de la ligne de lot. Plusieurs auraient pu être protégés à la suite d’une révision des plans d’architecte et des exigences de la ville.
Selon les experts de l’Institut national de santé publique du Québec, pour contrer l’effet immédiat de la perte d’un arbre mature sur la pollution atmosphérique, c’est 50 jeunes arbres qu’il faut planter. Pour remplacer la capacité dépolluante des 83 arbres abattus sur ce site, il faudrait donc planter 4150 jeunes arbres.